Régulation sur le nouveau génie génétique: Notre Position
En collaboration avec une large alliance d'une soixantaine d'organisations de soutien, le ASGG indique dans une prise de position les lignes rouges à ne pas franchir.
Brochure d'information de Friends of the Earth (2020) sur les risques des sprays à ARN (en anglais)
12.1.2012 | Humangenetik
Links: Life Technologies Corporation Ion Proton Sequencer Chip.
Rechts: Ion Proton™ Sequencer. Bilder: PR NEWSWIRE
Die kalifornische Life Technologies Corporation hat ein Analysegerät, den so genannten Ion Proton™ Sequencer entwickelt, mit dem eine vollständige DNA-Untersuchung für rund 1000 Dollar durchgeführt werden kann. Das Gerät kostet 149'000 Dollar. Die Firma meint, dass sich ab jetzt grosse Arztpraxen und Spitäler ein solches DNA-Gerät leisten können. Die Resultate der Genomanalyse, das heisst die Aufschlüsselung sämtlicher drei Milliarden DNA-Basenbausteine des Erbguts, liegt jeweils noch an demselben Tag vor und würde erlauben, frühzeitig Veränderungen zu erkennen, die schwere, lebensbedrohenden Krankheiten auslösen können. Die Analysen würden auch dazu beitragen, dass Biotech-Pharmafirmen vermehrt individuelle, auf einen Patienten abgestimmte Medikamente entwickeln können. Der Tages-Anzeiger kommentiert dazu: „Allerdings stehen gemäss Umfragen in den USA bis zu 90 Prozent der Ärzte der Massenverbreitung der DNA-Analysen skeptisch gegenüber, weil Patienten überfordert sein könnten. Entweder glauben sie zu Unrecht, eine bestimmte DNA-Konstellation führe zwangsläufig zu einer schweren Erkrankung, oder sie wiegen sich in falscher Sicherheit, wenn das Erbgut ein bestimmtes Krankheitsrisiko nicht erkennen lässt. Hinzu kommt, dass jeder Mensch DNA-Veränderungen mit potenziell tödlichen Krankheitsfolgen aufweist.“
externer Link: Tages-Anzeiger Online
externer Link: Medienmitteilung Life Technologies Corporation
11.1.2012 | OGM en Europe
Image: www.gmo-free-regions.org; ministère de l'environnement de la Lettonie.
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En comparaison avec les autres États membres de l’UE, le refus du génie génétique dans l’agriculture est assez marqué en Lettonie. Quasiment toutes les circonscriptions administratives de ce pays ont décidé de rester sans OGM jusqu’à fin 2012. Eric Leitis, un conseiller du ministère de l’environnement letton affirme que la culture de plantes génétiquement modifiées sera interdite dans 101 circonscriptions sur 110 au total. Ce mouvement pour une interdiction de la culture d’OGM a commencé en 2009, après la mise en vigueur d’une loi qui permettait aux gouvernements régionaux d’interdire, au moyen d’un référendum régional, la culture d’OGM sur leur territoire.
19.12.2011 | Dommages
Fleur de colza. Image: Sven Kreutz / www.biosicherheit.de
La dissémination dans l'environnement de colza génétiquement modifié (GM) est interdite en Europe et en Suisse. Cependant, du colza GM pousse le long des voies de chemin de fer suisses depuis plus d'un an ! C'est ce que révèle une recherche (1) menée par deux scientifiques pas encore publiée, mais dont les résultats sont confirmés par une analyse ultérieure menée par l'OFEV. StopOGM et Greenpeace demandent à l'OFEV de prendre immédiatement des mesures rigoureuses pour stopper la contamination et en empêcher de futures.
28.11.2011 | Risques sanitaires
Image: Gerd Spelsberg / www.biosicherheit.de
Une étude scientifique menée par un consortium international de quatre laboratoires de recherche indépendants dont l'ETHZ, vient de révéler des insuffisances dans l'approche utilisée pour l'évaluation des risques relatifs à la culture de plantes génétiquement modifiées produisant des toxines insecticides Bt (PGM Bt). Pour la première fois, il est montré que les résultats produits par l'industrie et d'autres institutions ne sont pas fiables et reproductibles, car ils n'ont pas été produits et validés selon des méthodes reconnues et standardisées. Ils ne sont donc pas utilisables sans validation ultérieure. Les toxines insecticides Bt proviennent de bactéries du sol (Bacillus thurigensis). Un exemple de culture Bt est le maïs MON 810 cultivé dans certains pays de l'UE et/ou importé et utilisé pour l'alimentation humaine ou animale.
5.5.2011 | Semences
Image: Gerd Spelsberg / www.biosicherheit.de
Greenpeace et Bioland ont soumis des requêtes auprès des autorités régionales concernées pour connaître les résultats d’une étude sur la contamination des semences de maïs prévues pour le marché allemand : 7 % des semences de maïs (29 échantillons sur 417) sont contaminés par du maïs GM. Au cours des dernières années, cette contamination n’a cessé de prendre de l’ampleur. En 2008, 2,1 % des échantillons portaient des traces d’OGM, en 2009, 5,7 %, puis 6,2 % en 2010. Des causes possibles pour ce phénomène sont, par exemple, le vol de pollen, la transmission par des insectes, la contamination après la récolte. « La semence sans OGM est la base de notre chaîne alimentaire. À ce niveau-là, il faut à tout prix éviter toute contamination » affirme le président de Bioland, Jan Plagge. Réalisés cette année en amont de la plantation, les contrôles ont permis de retirer du commerce les semences contaminées, ont salué Greenpeace et Bioland. Ces deux organisations exigent des contrôles stricts des autorités, la publication rapide des résultats et – surtout – le maintien de la tolérance zéro en ce qui concerne les semences.